top of page

AU PROGRAMME CETTE ANNÉE 

23ème festival de théâtre

Vendredi 17 novembre

19h30 : Ouverture des 23èmes Dionysies

Ouverture en musique avec l'accordéon de Romarine et en présence de nos invités, des représentants de la Ville de Pertuis et des bénévoles de Côté Cour Côté Jardin, chevilles ouvrières de ce festival.

20h : Hommage à Claude Broussouloux

Claude était le parrain du festival depuis sa première édition.

Nous partagerons un moment de souvenir avec des témoignages proposés par Christiane Blovac, Myriam Ablon, Francisca Craen, Michel Charransol et Damien et Armel Charransol.

21 h : Ida ou le délire

d'après Hélène Bessette - Côté Cour Côté Jardin (Pertuis)

Comédie dramatique - 1h15

Dans ce temps-là

et peut-être comme aujourd'hui

Quand on sert toute sa vie

on ne sait rien de la fin du service.

Rien de l'après. 

Elles ont beau lui dire : "comme de la famille".

Quand on n'a rien, on n'est rien.

Mais on s'appartient.

Par tous les moyens.

À entendre ce qu'elles en disent,

y'a de quoi rire!

Claude Broussouloux.jpg
photo Ida.jpg

Samedi 18 novembre

16h : Les filles aux mains jaunes

De Michel Bellier - Cie des évadés (Avignon)

Comédie dramatique - 1h15

Une usine d'armement pendant la "drôle de guerre"... Les femmes ont emplacés les hommes sur les machines. Partagez leurs combats, leurs espoirs. Venez vivre dans la froid, la saleté, les cadences infernales. La présence de Louise, journaliste militante au journal "La voix des femmes" chez les suffragistes, va offrir à chacune d'elle une nouvelle vision de la femme. Entrez dans la vie de ces femmes dont personne ne parle et surtout ... méfiez-vous du Gradu !

FB-6471.jpg
FB-6318.jpg
LES FILLES AUX MAINS JAUNE CIE EVADES AVRIL23.jpg

18h : Si tu me payes un verre

Spectacle de textes et de chansons,  sur des textes de Gérard Levoyer, Bernard Dimay, René Fallet, Jean-Loup Dabadie, Baudelaire, Léo Ferré - Cie Fauteuils et strapontins (Paris) - 1h20
 

Au Bistrot d’Alphonse il y a peu de clientèle, seulement quelques habitués. Jojo, poète alcoolo, drôle de zozo qui trimballe dans sa musette des œuvres impérissables que personne n’a lues. Mado, jolie comme un cœur avec un beau brin de voix mais dont le cœur est à qui paye le tarif. Et un pianiste d’ambiance dont tout le monde a oublié le nom. Les soirs de vague-à-l ’âme, la boite à souvenirs se remplie au fur et à mesure que les bouteilles se vident. Et les chansons allument des lampions dans les yeux rigolards.

Bref, dans ce coin de bistrot, y’a de belles aventures à l’intérieur d’êtres rares. Suffit de pousser la porte pour embarquer avec eux.

Situ ne payes un verre 2
AFFICHE définitive.jpeg
Si tu me payes une verre 1

21h : Petits crimes conjugaux

D'Eric-Emmanuel Schmidt - Cie Ail et fines herbes  (Fuveau)

Comédie dramatique - 1h30

Paul est victime d'un accident. Amnésique, il revient chez lui auprès de celle qui lui dit être son épouse depuis 15 ans. Il discute avec elle et tente de comprendre qui il était pour tenter de recomposer son existence. Et si Lisa mentait ? ...

Un des plus grands succès d'Éric-Emmanuel Schmidt.

Petits crimes 3.jpeg
Petits crimes 4.jpeg
Petits crimes 1.jpeg

Dimanche 19  novembre

16h : Paco Pacuni

De Patricia Isoard-Fulchiron - Cie Apsara (St Martin de la Brasque)

Salina et Lhasa sont deux sœurs d'origine quechua, malmenées par l'histoire tourmentée de leur pays. L'ainée rêve de sortir de sa condition misérable et de quitter le Pérou. Des années plus tard, après la disparition de sa sœur, la cadette choisira l'exil au Chili.

A travers leur histoire, c'est une page sombre de l'histoire du Pérou sous la présidence de Fujimori qui se dévoile.

Une écriture pleine de poésie et d'émotion. 

Lien vers le teaser

https://www.facebook.com/100089608425184/videos/902013244173042

Paco Pacuni 2.jpg
Paco Pacouni.jpg
affiche Paco Pacuni.png

18h30 : Richard III n'aura pas lieu

De Mattei Visniec - Cie Théâtrale IL (La Garde)

L’histoire est simple : c’est l’époque qui est compliquée. Meyerhold a reçu l’autorisation de monter Richard III, car Shakespeare n’est pas un auteur censuré dans ce pays où la révolution s’efforce de créer l’homme nouveau.

Oui mais… la Commission qui supervise trouve que certains signes théâtraux sont confus, voire dangereux, voire contre-révolutionnaires. Les comédiens cherchent trop le regard du public, les accessoires doivent être « nettoyés » du point de vue idéologique…et surtout certains silences sont suspects.

Richard III n’aura pas lieu parlé de l’amertume et du désespoir de l’artiste empêché de s’exprimer dans les régimes totalitaires. Mais Matéi Visniec choisit l’humour, le grotesque et le « spectaculairement délirant » pour dénoncer cette solitude fracassée sur l’autel de la barbarie. Car on rit.

 

1er Prix au 16ème grand prix FNCTA du SUD-EST

affiche Richard III.png
bottom of page